Birds of Passage

So I bought this movie for my parents thinking that the entire movie was in Spanish, but after watching the first few minutes that didn't turn out to be the case. The subtitles for this movie is only available in English and so my parents can't understand the dialog of the indigenous tribe members. DON'T BUY THIS MOVIE UNTIL THIS IS ADDRESS! This is crazy and beyond STUPID that the film makers wouldn't considered subtitles for the Hispanic audience. I really want my money back! this is garbage!

I can’t believe that the dvd does not have the choice for Spanish subtitles. The indiginous dialogue is subtitled in English. My husband cannot read them. A bit furious

Great photography of Bolivia or Chile, some areas a bleek desert, some a rich jungle.... Indians struggling to defend their customs from modern society and the drug trade... characterization was excellent, the mother was stellar as the tribal leader, the daughter very pretty desired by various men... coming of age.... "You insult me when you speak Spanish, speak our native tongue." Is family everything or is the drug trade and the dollar more tempting. Some people find out the hard way.... a realistic movie, you won't be entertained... no car chases, but it leaves you thinking..

This was just a good movie. Most films in theaters these days are action-packed with a bit of substance to make you think about something "significant" for maybe a day or week or so. This movie was also action-packed, but each scene also delivered important information for you to realize what was moving forward in the plot and also what skill the videographer has...This questions left by this film will remain with me for quite some time. It was long, but each scene was important. In twilight acts, it seemed to lose focus of protagonists and such, but in a film like this, the plot/themes are more important. I'd recommend.

I think the movie summary does a good job of explaining the storyline/plot. Film is well paced, beautifully shot and engaging , if not gripping. It is violent as any story of drug trade and "fracticide" would be. Not gratuitously. I was interested in the "other side" of the drug story in this part of the world--- Native Wayuu of the area and the impact of the drug trade during the 70s, 80s.Well done movie. Highly recommend!

This movie isn’t for everyone but for the few people who can tolerate the beautiful slowness of the pace and can enjoy the painterly cinematography, this is an intimate look into the lives of the Wayuu clan and their involvement in the Colombian drug trade war of the 70’s and 80’s.

It was very disappointing. It unjustly shows partying Peace Corp volunteers inspiring the marijuana trade to the indigenous people of coastal Colombia. That's just the opposite of what these dedicated volunteers do. Then it denigrates the indigenous people by showing them violently fighting among themselves for petty revenge. This movie harms good people for crass commercial gain. None of the characters or the plot are well developed. It is a piece of trash.

This movie was so exceptional I had to get the Blu-Ray version of it. And the colors and videography via Blue_ray are definitely worth it. Lest I mention the story line is a sensitive portrait on how the narcotics trade can disturb /uproot communities.

En 2015, un film colombien que je n’attendais aucunement, L’Etreinte du serpent, avait été un de mes préférés de l’année. Il reste pour moi à ce jour une des propositions cinématographiques les plus intéressantes de ces dernières années, qui allie un sujet passionnant et une forme élaborée et singulière – un mélange hélas de plus en plus rare. C’est avec quelque curiosité que j’attendais l’opus suivant de ce cinéaste colombien, Ciro Guerra, en l’occurrence co-signé par sa collaboratrice de longue date Cristina Gallego.Plus ambitieux en terme d’ampleur et de coût de production, Pajaros de Verano / Les Oiseaux de passage (2019) n’a pas déçu (ou alors très légèrement). Certes il peut sembler un peu en retrait dans ce qu’il ose, et le style visuel du film peut sembler un peu plus timide. Mais la forme que les deux réalisateurs ont trouvée pour ce film sert parfaitement une histoire qui n’a pas besoin de chichis particuliers. Simple et pourtant soignée, cette forme épouse comme il le faut un récit un peu aride – comme les paysages de la Guajira dans lesquels il s’inscrit – déroulé de manière implacable.Car, et c’est là l’originalité de leur projet, Ciro Guerra et Cristina Gallego ont souhaité retourner aux sources de la production et de la vente massive de drogue en Colombie, en montrant quel engrenage a entraîné un trafic artisanal puis de plus en plus industriel, enrichissant les communautés et les familles, puis y semant la division et la mort.Sur le mode du western tragique, Les Oiseaux de passage fait partie de ces films qui savent très bien démonter un système tout en faisant exister des personnages particuliers ne se limitant pas à une pure fonction. Très bien écrit, le scénario arrive à la fois à faire exister ces personnages dans leur singularité, et à montrer toutes les étapes de la montée en puissance des trafiquants, des alliances aux dissensions intra-communautaires. Tenant évidemment compte du fait que nombre de spectateurs ont ces dernières années vu beaucoup de films et de séries sur des cartels de la drogue et des grandes figures de narcotrafiquants, les scénaristes et cinéastes reprennent peut-être certains passages obligés mais se démarquent aussi beaucoup de la vision le plus souvent véhiculée dans ces films. Le pas de côté qu’opèrent Gallego et Guerra a bien sûr à voir avec le fait qu’ils retournent donc aux origines, essentiellement dans les années 70, alors que la plupart des films et des séries que nous connaissons se penchent sur une situation et des personnages déjà installés dans le grand banditisme, à partir des années 80 jusqu’au début des années 2000.Si l’on ajoute à cela qu’une des composantes les plus importantes du film est que dans cette région de la pointe nord de la Colombie, ce sont des communautés amérindiennes, les Wayuu (ou Guajiros) qui sont dominantes, on comprendra que le point de vue des cinéastes va largement à l’encontre de celui, souvent un peu complaisant, à l’œuvre dans les films sur la drogue en Amérique centrale et du Sud. Leur intérêt pour les rituels, déjà éclatant dans L’Etreinte du serpent et qui trouve à s’exprimer avec grand talent dans les scènes introductives des Oiseaux de passage, prouve qu’ils savent nourrir leurs histoires de communautés et de familles d’éléments culturels profonds (qu’ils ne traitent évidemment pas comme un simple folklore).Au total un film qu’on pourra éventuellement trouver un peu sec, mais qui ne manque ni de rigueur ni d’ampleur, riche dans ce qu’il donne à voir des évolutions d’une société tout entière. Comme je le notais plus haut, sa relative aridité n’empêche pas ses personnages d’exister fortement, qu’ils se trouvent au premier ou au second plan – de la belle-mère cheffe de clan au vieux messager édenté à lunettes noires qui semble tout droit sorti d’un film d’Emir Kusturica, les personnages secondaires marquants abondent.EDITION DVD / BLU-RAY DIAPHANA 2019Une très bonne qualité d’image et de son pour cette édition Diaphana – j’ai pour ma part pris connaissance du blu-ray. VOSTF uniquement. Les suppléments sont trois petits modules plutôt bien conçus mais trop courts. On y apprend néanmoins que cette production ‘à la fois à échelle industrielle et artisanale’ a été mise à mal lorsque les décors construits au bord de l’eau ont été inondés.Si l’on souhaite se diriger vers L’Etreinte du serpent, il faut savoir que Diaphana n’avait malheureusement sorti en France qu’un dvd. Pour un aussi beau N&B, il convient plutôt de se porter sur un blu-ray, que l’on pourra trouver si l’on est hispanophone ou anglophone en Grande-Bretagne, où le film porte le titre Embrace of the Serpent (Peccadillo Pictures).

Minuspunkt gibts für die teils eher nicht hervorragenden Schauspieler und einige Längen, Ansonsten kriegt man hier eine spannende Geschichte aus einer Kultur, welche wohl nicht vielen besser bekannt ist. Der Regisseur wird nochmal richtig grosse Filme machen, da bin ich mir sicher

Un film à ne pas manquer